Analyse de l’emploi classique

Vous êtes un nouveau réseauteur, vous voulez vous lancer dans le marketing de réseau ou vous avez suivi une présentation d’opportunité basée sur le Networking mais vous avez des doutes sur cette nouvelle industrie ; cet article est le vôtre. Si vous n’êtes pas dans l’un de ces trois groupes c’est que vous ne connaissez pas encore le marketing de réseau ou vous êtes tout simplement un client. Et alors je dois vous présenter mon opportunité et si celle-ci ne vous convient pas  vous devriez quand même continuer à chercher une entreprise qui vous convient car il est de votre intérêt aujourd’hui de faire le Networking si vous ne voulez pas être nargué demain par un monde et une économie en mutation. Comment ?  Et bien lisez ceci mais commencez par faire connaissance avec le marketing de réseau

Cet article vous fait une simple analyse d’un gros mensonge dans votre vie, l’emploi. « Seul le travail fais l’homme », « Seul le travail paye ». Voici des maximes bien familières! N’est-ce pas ? Ne vous inquiétez pas, je ne viens pas contredire ces citations. Je veux tout simplement vous proposer de les compléter si vous voulez connaître la réussite véritable. Mes chers amis, le travail se décline en deux types.

Le premier c’est l’emploi. Il s’agit de l’orientation qu’un père pauvre aura tendance à donner à son enfant : « Mon fils (ma fille), travaille dur à l’école, vas à l’université, gagne beaucoup de diplômes, décroche un boulot meilleur au mien, prend une seule  femme (un homme) qui travaille comme toi, fais moins d’enfants que moi,..., garde toujours ceci à l’esprit: « seul le travail fais l’homme ! » et tu seras heureux ! » J’ai eu à peu près ces mêmes conseils en grandissant. Mais le constat est qu’une fois avoir suivi ces conseils et quelques temps après avoir pris fonction ces enfants constatent que leur vie n’est pas meilleure à celle de leurs pères, alors ils cherchent un deuxième puis un troisième emploi  et n’ont même plus le temps d’avoir une vie de famille, mais les problèmes persistent ; c’est à croire qu’ils se déplacent. Les moins chanceux ont même du mal après des études supérieures d’avoir un emploi « décent ».

Le deuxième c’est l’entrepreneuriat. Dans le classique il s’agit de ce qu’un père riche conseillera à son enfant : « Mon fils (ma fille), vas à l’école pour avoir des outils de communication, la connaissance du monde et des choses et de l’expérience, ensuite investit toi dans un secteur qui te passionne et qui a de l’avenir, entoure-toi de personnes compétentes et passionnées pour créer ta propre entreprise,…, garde toujours ceci à l’esprit : « Seul  le bénéfice enrichit ! » Et tu vivras une vie dont les autres rêveront! » Aujourd’hui le deuxième type est exercé par moins de 20% de la population mondiale et pourtant, ils n’ont pas moins de 80% des richesses mondiale à leur disposition.

Le capitalisme est organisé de telle sorte que pour bâtir une entreprise classique, vous avez besoin de gros investissements ; ce qui n’est pas donné à un enfant de pauvre. N‘est-ce pas ? Vous vous dites certainement que ce monsieur est surement en train de se planter. Mais voilà, une de mes convictions a toujours été que le capitalisme n’était pas viable car l’on ne peut pas maintenir une société dans la consommation et la servitude tout le temps, car l’emploi c’est en réalité de l’esclavage sous sa pire forme. Navré si cela  vous blesse ce n’est pas mon intention mais mon intention c’est qu’au lieu d’une blessure cela provoque un choque suffisant pour que vous changiez votre approche de l’emploi. Aujourd’hui le Networking se présente comme la seule possibilité pour un citoyen moyen avec un faible pouvoir d’investissement de connaître la liberté financière. Je ne vous dis pas que le marketing de réseau est la seule solution qui existe de nos jours mais je suis sure d’une chose, c’est que c’est la meilleure alternative au système actuel!

Avant de poursuivre je sais que vous vous demander comment j’ai pu en arriver à comparer l’emploi et l’esclavage. Vous avez raison d’être choqué surtout si vous êtes comme moi un pur produit de ce système là. Je ne suis pas fier de vous le dire mais c’est la réalité. Très tôt au collège j’ai remis en cause beaucoup de choses dans ma vie parmi lesquelles le système éducatif et l’emploi. Ceux qui m’ont connu pourront vous le confirmer, j’ai toujours voulu avoir ma propre entreprise. Ce qui me répugnais c’est qu’on m’impose des heures de travail, un contenu de travail, une autorité dont la compétence et la sociabilité sont à revoir et de surcroit MON salaire! Lorsqu’à ce sujet j’ai lu ces lignes extraites du livre Even a Moron With a Dream de Pathman Senathirajah
 j’ai été non seulement conforté mais aussi et surtout édifié dans ma logique:

« Mon cursus scolaire, le collège et l'université, a fait de moi à 23 ans, quelqu’un qui n'avait pas envie de gérer une entreprise et de devenir un multimillionnaire et qui certainement n'avait pas envie de changer le monde. Au lieu de cela, mon éducation a créé un diplômé de 23 ans, qui voulait rejoindre le meilleur cabinet d'avocats et travailler très dur pour finir avec un compte bancaire à zéro dans une banque à quelques pas de la faillite!
Beaucoup de gens m’ont demandé ce que j'avais sur la Terre contre le concept d'emploi et pourquoi je suis si passionnément contre. Ma réponse, c'est ceci: «Je suis né pour être libre et non pas pour être un esclave." Et avec un regard souriant, ils disent que j'ai besoin d'aide psychiatrique. Encore une fois mon explication pour eux est de faire une simple comparaison pour prouver que l'esclavage existe encore aujourd'hui. Maintenant, vous devez être d'accord avec ces gens qui pensent que j'ai besoin d'aide psychiatrique! Mais lisez la première comparaison et décidez ensuite vous-même.
 L'esclavage dans le passé.
 Dans les années 1860, Abraham Lincoln a été la principale force de la plupart des associés pour l’abolition de l'esclavage des Afro-Américains. Tout le monde était heureux parce que les esclaves affranchis ont eu le droit à la vie, la liberté et au bonheur. Mais, l'esclavage n'est pas terminée, du moins pas dans sa totalité. «Oh! Non, il est devenu plus avancé et bien déguisé. "
Retournons au passé, les esclaves dormaient dans une grange où ils étaient enchaînés ensemble. Chaque matin, le maître des esclaves serrait la péniche, leur fouet et les réveillait en état de choc. Rapidement, alors qu'ils étaient encore à peine réveillés, ils sont conduits comme des animaux, des troupeaux et enchaînés en un fichier unique, chacun capable de bouger ses pieds, avec juste quelque trois pouces entre eux.

Sur leur chemin, il leur était donné un vieux pain trempé dans l'eau qu’ils mangeaient en se traînant à la hâte. C’est seulement quand ils auraient atteint les champs de coton, qu’ils seraient détachés et mis à la cueillette du coton. Midi venu, deux cornes seraient soufflées, chacun avec un son bien distinct de l'autre. Ceux qui s'identifiaient au premier bruit couraient au centre du champ où ils avaient de l'eau et un peu de nourriture. C'était la pause déjeuné, une seule session. Les propriétaires des fermes de coton ayant le sens des affaires et l'esprit de profit n’arrêtaient pas la production pendant la journée. Trente minutes plus tard, ces pauvres esclaves seraient renvoyés sur le terrain. Ensuite, la seconde corne serait soufflée, alertant le second groupe à venir et on leur servait un petit peu de nourriture et d'eau avant de les faire retourner à la cueillette du coton.

Au coucher du soleil, les esclaves ne pouvaient plus continuer à travailler lorsque la nuit enveloppait le champ de coton et heureusement, l'électricité n'était pas disponible alors. Avec la sueur qui coule encore sur leur dos, ils sont rassemblés reconduits et enfermés dans leurs granges. Les esclaves ont trouvé des moyens pour se divertir, certains d'entre eux ont créé des cartes à jouer, certains jouaient de la guitare, d’autre faisait de la liqueur faite de pommes de terre appelée « clair de lune » (qui ressemble à la vodka), et certaines des femmes causaient.

Regardons la société d'aujourd'hui.

Comment vous vous réveiller? Pas avec le bruit de gazouillement des oiseaux, j'en suis sûr. Au lieu de cela, vous vous réveillez sous les cris d’une alarme d’horloge, ou c’est votre femme qui vous donne des fessées et en criant «Réveille-toi!" Encore une fois, on se réveille sous le choc. Vous sautez du lit, et ça alors qu'il est tard et il n'y a pas de temps pour le petit déjeuner, donc vous prenez un toast et courez vers votre voiture. Puis vous entrez dans un embouteillage terrible où vous vous déplacez à peine trois centimètres d'un autre chauffeur dans son misérable Kancil. Après avoir lamentablement circulé et de façon laborieuse, vous accédez à un immense bâtiment - votre société, et donc en gros vous allez dans votre champ de coton. Vous vous asseyez à votre bureau, tapez des e-mails sans sens et faites semblant de travailler. Vous attendez impatiemment votre patron pour annoncer «L'heure du repas, 12 - 1, la moitié d'entre vous peut y aller», et si vous appartenez au second groupe, "12 - 2, l'autre moitié y va."

Dans la soirée, vous quittez votre champ de coton. Soit vous allez dans un bar pour boire et  noyer vos chagrins ou vous rentrez chez vous, regarder la télévision, chanter, jouer la guitare karaoké ou partager des histoires juteuses de potins avec vos amis.
Maintenant dites-moi, ce qui vous rend différent des esclaves de retour dans la journée? Quand vous pensez vraiment à cela, la seule différence entre vous et les esclaves est le niveau de confort. Vous disposez d'un lit à baldaquin dans votre appartement et ils ont du foin dans la grange. Ils ont joué de la guitare pour se divertir et vous avez des bars pour le faire. Ils burent « clair de lune » et vous vous buvez de la vodka.
C'est tout simplement un autre niveau de confort, rien de plus. Tout comme les esclaves afro-américains à l'époque, vous n'avez pas une chose fondamentale appelée « la liberté de choisir ». Vous ne pouvez pas préparer vos bagages et aller à Paris pendant un mois. Vous n'avez pas d'argent et vous ne pouvez pas vous permettre de quitter votre emploi. Les Choix des esclaves étaient contrôlés par leur maître, tout comme les vôtres sont contrôlées par votre patron. Le maître des esclaves fouettait, la méthode de flagellation de votre patron est de crier à tue tête sur vous. A l'époque il y avait des abus physiques, nous avons aujourd'hui la violence psychologique. Pas de différence!
«Pourquoi suis-je entrain de parler du concept entrepreneuriat? Pourquoi suis- je entrain de parler de liberté de choix? Parce que je veux libérer les esclaves! »
Autant que nous avions des combattants de la liberté à l'époque armés de fusils et de balles, je me vois comme un combattant de la liberté avec l'Internet et mon téléphone mobile comme mes armes de choix. Je veux partager mes idées avec autant de personnes que possible et les amener à voir le potentiel de leur vie.
« Alors êtes-vous un esclave? OUI VOUS L’ETES! Vous avez juste l'air d’être de meilleure qualité et d’avoir une meilleure odeur qu’eux! » »

Maintenant voici ma question pour vous : pour qui travaillez-vous ? Si la réponse n’est pas « MOI ! » alors vous vivez certainement le mensonge. Combien avez-vous entendu des gens dire qu’ils sont satisfaits et heureux dans leur vie pourtant pathétique. Ces gens refusent le combat et se cachent derrière des excuses du genre « l’argent ne fait pas le bonheur », ils rationalisent et se résignent. Laissez-moi vous dire, les amis, que la vérité fait mal mais c’est la vérité. Certes, l’argent ne fait pas le bonheur mais il en est indispensable. Pouvez-vous seulement vivre sans argent? Ne me parlez donc pas de bonheur. A ceux qui vous diront que trop d’argent rend mauvais, dites leur que l’argent n’est ni bon, ni mauvais et donc ne constitue pas le problème mais plutôt eux. Les mêmes sommes dans les mains de mère Theresa ou dans celles d’un mafieux ne serviront certainement pas aux mêmes fins. Bref, nous auront l’occasion de revenir sur le complexe de l’argent dans un autre article.
Sachez seulement que lorsque vous dites « je vais bien » par courtoisie en croulant sous des problèmes, vous mentez ! Combien de fois mentez-vous alors par jour ? Nous vivons le mensonge. Combien de fois souriez-vous à votre chef par jour tout en souhaitant sa mort ? Combien de fois avez-vous empêché votre enfant de choisir un jouet en lui disant que c’est dangereux parce c’était trop cher pour vous ?...
Faites une analyse franche et objective de votre situation. Et si celle-ci ne vous convient pas changez! C’est de votre vie dont il s’agit, ne laissez donc personne décider à votre place, laissez le géant qui est en vous prendre le « remain control ».
Prenez soin de vous et rendez-vous à la liberté financière !
Amicalement !


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